Mes amours francophones : 100-91

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2 réponses

  1. 21 mars 2019

    […] 100-91 […]

  2. 16 octobre 2020

    […] « Disque sidérant de beauté, souvent un peu oublié dans l’ombre portée de son chef-d’œuvre Crèvecoeur paru en 2004, La taille de mon âme démontre, s’il en était besoin, à quel point Daniel Darc avait atteint une forme de plénitude créative digne des plus grands de la musique d’ici. Sur ce morceau-titre de l’album, Daniel Darc – épaulé à la réalisation par son nouveau complice d’alors, Laurent Marimbert – livre une valse absolument bouleversante, une de ces chansons qui vous dénudent l’âme et le cœur et semblent faire rejaillir un peu de leur majesté sur nous autres, modestes auditeurs nous aussi comme touchés par la grâce. Tout de douceur grandiose, d’une impeccable justesse même dans ce chant murmuré qui parfois titube et se voile, La taille de mon âme s’élève comme une volute éclairée par les néons, seule et belle dans le soir. La phrase empruntée aux Enfants du paradis qui la clôt résume parfaitement l’ensemble : « Je ne suis pas belle, je suis vivante, c’est tout ». Texte original publié le 21/03/2019. […]

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