La discothèque de lamateur Site

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Bonbon acide

Giant Drag Hearts and unicorns (2006, Interscope) Dans la grande ville (Los Angeles), Annie Hardy recherchait des musiciens pour former un groupe et ne pas rester seule avec ses chansons...

Voyage en France 0

Voyage en France

Mes obligations professionnelles me conduisant en un peu plus de trois semaines de Rennes à Bordeaux en passant par Lyon, j’ai eu envie d’accompagner ce (petit) périple en musique et...

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Au-dessus du volcan

Björk Debut (1993, Island) A la sortie de l’album qui la révéla à la face du monde, il aurait été précipité de considérer Björk (Gudmunsdottir) comme une débutante sur la...

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Nouveau départ

Morrissey Viva hate (1988, EMI) Il n’aura fallu que six mois à Morrissey pour se lancer en solo après la séparation des Smiths, comme s’il fallait tourner la page au...

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Les démons de minuit

The Kills Midnight boom (2008, Domino) Après deux premiers albums lui ayant conféré une place de choix au sein du paysage rock contemporain, on attendait avec une certaine impatience la...

Chansons d’automne 0

Chansons d’automne

A l’orée du weekend de la Toussaint, qui pourrait symboliser à lui seul une certaine vision de l’automne, petite playlist en dix morceaux abordant de près ou de loin la...

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Le palais des glaces

Prefab Sprout Jordan: the comeback (1990, Columbia / Sony) Traitant il y a déjà bientôt trois ans de leur merveilleux Steve McQueen de 1985, j’écrivais que cet album m’avait permis...

The Kills - No wow 4

Un coup fumant

The Kills No wow (2005, Domino) Deux ans après leur remarquable et remarqué premier album, le duo le plus sexy de la planète rock remettait le couvert en 2005 avec...

The Kills - Keep on your mean side 2

Mortelle randonnée

The Kills Keep on your mean side (2003, Domino) Parmi tous les groupes en “The” surgis sur la vague du “revival rock” de ce début de siècle, les Kills –...

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Perle et fond de Cale

John Cale Artificial intelligence (1985, Beggars Banquet) Autant prévenir d’emblée que cet Artificial intelligence est loin d’être la meilleure porte d’entrée dans l’œuvre de John Cale. On pourra même affirmer...