La lumière qui ne s’éteint jamais

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1 réponse

  1. 30 mars 2024

    […] Electro-shock blues, prédécesseur immédiat de ce Daisies of the galaxy, se terminait par un constat simple et impérieux : “Maybe, it’s time to live”. Mark Oliver Everett – alias E, accessoirement unique élément de ce groupe singleton – concluait donc cet album éprouvant, perclus de peine et de douleurs, par l’intention clairement affichée d’aller de l’avant, de se relever malgré les drames et les deuils. On ne pourra pas reprocher à E de ne pas avoir de la suite dans les idées, tant ce Daisies of the galaxy affiche une ambiance nettement plus solaire que son claustrophobe devancier. Mark Oliver Everett laisse derrière lui les cimetières, les couloirs d’hôpitaux et les chambres d’asiles pour enfin s’ébrouer en plein air et profiter d’atmosphères autrement bucoliques. La saynète pastorale illustrant la pochette annonce la couleur et, au fil des quinze chansons composant cet album, on croisera entre autres des oiseaux, des pâquerettes et des mulots, autant d’éléments bâtissant un décor plus lumineux et apaisé. […]

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