Au p’tit bonheur

The Sleepy Jackson Lovers (2003, Astralwerks) La pop australienne a régulièrement donné naissance à nombre de groupes et…

Même les cowboys ont du vague à l’âme

Cowboy Junkies The Trinity session (1988, BMG) Après plusieurs expériences musicales sans grand écho du côté…

Le maître des brumes

Smog Dongs of sevotion (2000, Domino) Je viens de m’apercevoir que cela faisait déjà plus de…

Première classe

Richard Hawley Coles corner (2005, Mute) Grandi à Sheffield dans une famille férue de musique, Richard Hawley cherche…

Soul man

Matthew E. White Big inner (2012, Spacebomb / Differ-Ant / Domino) Il n’y a guère longtemps que j’ai…

L’oiseau moqueur

Baby Bird Fatherhood (1995, Chrysalis) Après une bonne quinzaine d’inactivité du fait de vacances bien méritées…

En toute modestie

Travis The man who (1999, Epic / Independiente) Avouons-le d’entrée, nous n’avons pas affaire ici à…

Le chant de l’éternel espoir

The Apartments No song no spell no madrigal (2015, Microcultures) Je n’ai pas l’habitude de me…

Il fait soleil (et pourtant…)

Nick Drake Bryter layter (1970, Island) Au milieu de la brève et inestimable discographie de Nick…

Couper-coller

Beck Odelay (1996, Geffen) Après Mellow gold (1994) et la bombe Loser, puis l’exceptionnel One foot…