10:15 Saturday night – #13

https://www.rollingstone.fr/passion-selon-dave-grohl/

Comme chaque quinzaine, je vous propose ce soir une petite sélection non exhaustive de mes lectures et écoutes musicales des deux dernières semaines, qui pourront qui sait accompagner votre rentrée.

Du neuf avec un nouvel album de Jay Som annoncé comme imminent et sur lequel Melina Duterte se confiait dans The Line of Best Fit (1). Ça tombe bien, je commence juste à me plonger avec délice dans son très réussi Everybody works de 2017 dont je vous mets en écoute l’épatant Baybee.

Nouveauté autrement colossale avec cet extraordinaire (2) Not délivré par Big Thief qui annonce un deuxième LP dans cette même année après son remarqué U.F.O.F. (que je n’ai même pas encore écouté). La chanson est formidable de rage électrique et se place déjà parmi les hauts faits de 2019.

Du côté des rééditions vinyles, on signalera en ce mois d’août (3) celle du premier album fondamental de Suicide sur lequel revenait avec brio Christophe Conte dans Libération.

Du côté des excellentes chroniques anniversaires de l’été de Section 26, Renaud Sachet revenait sur Sittin’ pretty des Pastels (4), groupe à côté duquel je suis assez largement passé (je suis plein de trous).

Un reportage de France TV Info revenait sur l’exposition à voir actuellement en marge des Rencontres de la photographie à Arles et consacrée à la Motown (5). Ça a l’air bien pour celles et ceux qui passent dans le coin.

Sur The Quietus, Warren Hatter consacrait un passionnant article à l’underground français des années 1970, de Richard Pinhas à Magma (6).

C’est d’ailleurs toujours grâce à The Quietus que j’ai découvert cette collaboration toute fraîche réunissant pour le meilleur Tinariwen et Cass McCombs (7).

Dans ses interviews, Dave Grohl a toujours l’air d’être un vrai type bien et cet entretien accordé au Guardian ne fait pas exception (8).

The Cure faisait l’événement hier à Rock en Seine, je n’y étais pas mais cette captation live de Disintegration (9) tirée du concert du 40e anniversaire pourra peut-être servir de pis-aller.

Enfin, vous avez jusqu’au 7 septembre pour visionner cet excellent et touchant documentaire consacré à David Crosby sur Arte, que je vous recommande chaudement (10).

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