Mes amours francophones : 20-11

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2 réponses

  1. 18 juillet 2019

    […] 20-11 […]

  2. 20 novembre 2020

    […] « Avec L’horizon, Dominique A avait déjà démontré son talent pour les chansons au long cours, ces morceaux dont les poumons se gonflent peu à peu d’un souffle épique qui emporte l’auditeur et le bouscule. Le convoi, sur le fantastique Vers les lueurs, se situe pleinement dans cette lignée toute d’intensité lyrique et pousse même le bouchon un peu plus loin, élève le niveau encore d’un cran. Inspiré à la fois par la chanson Les ombres du soir d’Hubert-Félix Thiéfaine et par le roman Le convoi de l’eau d’Akira Yoshimura, Le convoi avance et déploie son ruban épais neuf minutes durant. Neuf minutes d’un impressionnant crescendo, d’une poésie brute ouverte à toutes les interprétations, chacun pouvant voir dans ce convoi une métaphore de la vie, de l’amour, de la mort ou d’autres choses encore. Musicalement, le morceau progresse avec la compacité d’une coulée de boue, guitares, rythmique, cuivres et claviers marchant de concert, dans une lente procession baignée d’inéluctable. Et au-dessus du cortège trône le chant en majesté d’un Dominique A calme et souverain, véritablement au sommet de son art. » Texte publié originellement ici le 18 juillet 2019. […]

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