Catégorie : 1990-1999

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Cheval vapeur

Sparklehorse Good morning spider (1998, Parlophone) Après cette petite (et appréciable) pause estivale, je reprendrai peu ou prou les choses où je les avais laissées et c’est donc avec Sparklehorse...

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Étalon or

Sparklehorse Vivadixiesubmarinetransmissionplot (1995, Parlophone/Capitol) Avant une parenthèse estivale d’au moins trois bonnes semaines, je trouverai finalement le temps de consacrer une dernière note au génie défunt de Mark Linkous, alias...

Swell - Too many days without thinking 1

De bile et de fureur

Swell Too many days without thinking (1997, Beggars Banquet) Avec les ténébreux et formidables …Well? (1992) et 41 (1994), Swell réussit à imposer une griffe trouble et mystérieuse, fidélisant autour...

Lauryn Hill - The miseducation of Lauryn Hill 0

La superbe

Lauryn Hill The miseducation of Lauryn Hill (1998, Ruffhouse) C’est dès l’âge de treize ans que Lauryn Hill intègre les Rap Translators avec ses amis Pras Michel et Wyclef Jean....

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Fontaines de jouvence

Fountains of Wayne Fountains of Wayne (1996, Tag/Atlantic) Après Me’ Shell Ndegeocello, retour aujourd’hui à des plaisirs plus modestes; pas question ici d’envolées cosmiques ou de spiritualité lascive mais de...

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L’homme de verre

Elliott Smith Roman candle (1994, Domino) Au début des années 1990, Elliott Smith mène une double vie. Le jour, comme tout musicien de la scène rock du nord-ouest des USA...

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Toujours être ailleurs

Smog Knock knock (1999, Domino/Labels) La reprise des deux précédentes notes que j’avais commises à propos de Smog n’était pas purement gratuite. Il me semblait important de replacer cet album...

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Le vaisseau fantôme

Smog The doctor came at dawn (1996, Domino/Drag City) Dans la discographie tourmentée de Smog (alias Bill Callahan), The doctor came at dawn suit chronologiquement Wild love et surtout le...

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Le prince sombre

Smog Wild love (1995, Drag City) Tout commence comme cela : quelques accords de guitares grattés sèchement, puis un martèlement métronomique de batterie, une phrase de synthé qui se répète...

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L’esthète et ses mystères

Eric Matthews It’s heavy in here (1995, Sub Pop) Après avoir pas mal insisté ces derniers temps sur l’œuvre de Richard Davies, il m’aurait semblé injuste d’oublier ici son génial...